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Nihon Ni Ryokô
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27 avril 2009

Jour 5 : Nara

Lever sans réveil, avec le soleil… Je prends le temps de sauvegarder mes photos sur clé USB, puisque la carte mémoire de Kevin a buggé et qu’il serait dommage qu’il m’arrive la même chose ! On prend ensuite le train pour Nara, ancienne ville impériale située à une heure de Kyoto.

234_Direction_Nara




Après un petit café au Mister Donut pour se réveiller, marche jusqu’au Parc de Nara où se trouvent tous les principaux sites à visiter de la ville. Le parc est connu pour abriter des centaines de daims en liberté qui n’hésitent pas à venir manger dans la main des touristes !

237_Daims240_Daim250_Kevin___le_daim249_Nico___le_daim








Après être passé devant le temple Kofukuji et sa grande pagode à cinq étages, on se dirige vers le Todaiji, la plus grande construction en bois du monde qui abrite un Bouddha géant en bronze. C’est la deuxième bonne surprise de notre voyage… Le temple est très impressionnant (avec de jolies petites cornes…), aussi bien pour le temple en lui-même que pour l’environnement autour. Et le grand Bouddha est vraiment grand !

242_Kofukuji251_Porte_Nandaimon256_Todaiji

259_Todaiji

268_Daibutsu

275_Daibutsu

260_Todaiji











On monte ensuite vers le sanctuaire Kasuga Taisha et ses milliers de lanternes (oui, ils aiment bien les trucs par milliers ici…). Le site est assez sympa, mais il commence à pleuvoir et nous abrégeons un peu la visite. Je sors mon beau K-Way et Kevin s’achète un joli parapluie japonais transparent. Les parapluies sont une véritable institution au Japon ; dès les premières gouttes, tous les magasins sortent leur stand de parapluies à 500 yens (4 à 5 euros). Du coup les japonais sont très peu attachés à leurs parapluies et en rachètent souvent, en abandonnant les leurs un peu partout dans les villes…

283_Vue_depuis_Tamukeyama_Hachimangu290_Kasuga_Taisha293_Kasuga_Taisha295_Kasuga_Taisha







Nous continuons notre route vers le quartier historique et commerçant de Naramachi, sans vraiment réussir à le localiser. Je passe à la poste pour acheter des timbres, et comme au guichet JR le premier jour, l’agent me fait tout un cérémonial. Il présente une petite barquette où je dois déposer l’argent, prend la barquette, va chercher les timbres puis les met dans une autre barquette qu’il pose devant moi. On avait déjà remarqué dans certains magasins que les japonais évitent les contacts physiques au moment où on leur tend l’argent. En tout cas les timbres ne sont pas chers du tout, et il est même moins cher d’envoyer une lettre en France qu’au Japon…

On passe ensuite dans un magasin à 100 yens comme il en existe beaucoup dans le pays, puis on mange dans un petit resto sympa où l’on se prend un joli petit plateau ; les repas sont généralement assez bon marché par rapport au prix de la vie. Manque de chance des espagnols qui parlent fort (vraiment très fort) ont eu la même idée que nous, ce qui a aussi énervé les quelques japonais autour de nous !

303_Restaurant___Nara304_Restaurant___Nara





On revient vers la gare et de retour à l’auberge à Kyoto on rencontre deux français en voyage comme nous. On parle un peu de nos voyages respectifs puis on décide de passer la soirée ensemble dans les quartiers de Gion et Pontocho. A Pontocho, on entre dans salle de jeux (sur cinq étages, normal…) où l’on se fait une petite course de Mario Kart tous les quatre (je ne sais plus qui a gagné, mais du coup ça ne devait pas être moi…), et où les jeux sont vaiment fous ! Il existe par exemple des courses virtuelles de chevaux où les joueurs parient vraiment ! On se trouve ensuite un resto à ramens, classique...

307_Salle_de_jeux___Kyoto308_Courses_viruelles_de_chevaux



Les deux français ont un Lonely Planet qui donne quelques adresses de bars sympas, mais nous n’arrivons pas à les trouver… Du coup, on retourne à proximité du Soul Scramble où l’on a passé la soirée de la veille, et on trouve un nouveau bar avec cette fois deux clients ! Au final on s’est quand même retrouvés seuls après quelques minutes…. Je me prends une petite Guinness, mais on ne s’attarde pas dans les parages, vu que le bar n’est pas du tout animé et que l’on a encore l’impression d’être dans un club privé…

Comme on est quatre, on se permet de prendre un taxi pour rentrer à l’auberge. Pas de problèmes pour en trouver un, il y en a des centaines dans le quartier, ce qui est complètement fou comparé au nombre de clients potentiels ! On en prend un au hasard et j’explique au chauffeur la destination, adresse écrite à l’appui ; même s’il ne semble pas très sûr de lui, il nous dépose finalement au bon endroit. Après avoir traîné un peu à l’auberge, direction nos lits bien chauds…

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Commentaires
K
And the winner of mario kart izzzz: moi!<br /> Voilà, c'est le seul détail que je me permets de compléter. Sayonara!
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